La grève dans le premier degré parisien est d’abord révélatrice d’un malaise profond chez les professeurs des écoles, malaise qui dépasse largement la question des rythmes scolaires et qui s’accroît depuis au moins dix ans.
Rythmes scolaire : l’arbre qui cache la forêt Ce malaise prend racine dans un sentiment de déclassement, pour partie commun à toutes les professions enseignantes, mais dont certaines dimensions sont spécifiques au premier degré :
déclassement à cause d’un pilotage hiérarchique (...)